>> A mon infirmière ; Que ferais-je sans toi ? comme dit la chanson.
Je ne compte plus les fois où j'ai eu besoin de toi, ni les fois où j'ai eu envie de toi, ce n'est pas le sujet. Avec tous mes bobos, une goutte par ci, une crème par là, un massage sur ma vieille carcasse, un désinfectant, un conseil ou une remontrance, un encouragement, un rappel à ma tête pour consulter un docteur. . . Ah oui ces docteurs qui se font rares, si rare que nous formons le notre, espérons qu'il sera opérationnel avant que le ciel nous tombe sur la tête !
>>Les études de médecine, ou de santé en général n'ont rien à voir avec la charrette du médecin de campagne vers 1900. Heureusement c'est plus rapide maintenant.
Mais pour en arriver au bon diagnostique, à un diplôme il faut du travail, du temps, de l'acharnement et un dévouement certain, comme les infirmières et infirmiers. Bravo, courage à tous.
>> Alors sans faire de comparaison désobligeante je voudrais dire bravo et merci à toutes les infirmières.
Le 'bravo' de 20 heures se fait déjà dans notre rue et dans beaucoup d'endroits, il me reste à vous faire parvenir mille mercis.